Je ne crois pas en la vie après la mort, je ne suis pas un chrétien, donc j'écris cette lettre sans destination réelle parce que ma grand-mère est mort vendredi dernier. Cependant je dois écrire pour métaboliser une nouvelle condition de mon être.
Habituellement, il y a des leçons communes que nous recevons de nos ancêtres, grands-parents, arrière grand-père.
Habituellement, il y a des leçons communes que nous recevons de nos ancêtres, grands-parents, arrière grand-père.
Dans ma famille il y a une grande tradition de transmission orale des épisodes qui ont marqué la vie de chaque membre qui a précédé l'ère dans laquelle nous vivons.
Du côté de ma mère je suis descendu de deux tribus indigènes vénézuélien, dans la famille de mon père il y a militaires, hommes et femmes très importante de l'église, et des grandes voyageurs. La leçon commune dans les deux branches de ma famille n'est pas la modération, mais le respect, la persévérance et toujours placer les principes avant toute chose.
Je suis un artiste parce que ma grand mère m'a permis d'être telle que je suis aujourd'hui.
Était elle à encourager, financer et soutenir de manière atypique, car il y avait des artistes dans sa famille, touts ma long démarche de formation. Elle voulait que je travaille comme un artiste de tatouage, et je lui ai promis avant sa mort que je ferais ça, et j'ai placé une petit machine à tatouer dans le cercueil.
Ma chère grand-mère,
vous et moi avons toujours été très simple, sans formalités inutiles parce que vous détestait perdre du temps quand vous avez eu à communiquer des choses importantes. J'ai donc essayer d'éviter l'habituel pathos dans ces cas réservés aux défunts.
Vous aviez toujours raison, je suis un grand artiste, mais j'ai un côté sombre que je dois essayer de limiter. Je ressemble à votre mari, maréchal de la Marine, travailleur dur, peut-être trop occupé à écouter toujours ses démons pour pouvoir s'occuper de le malaise des personnes voisine. J'espère que dans ce cas me peux aider les leçons de votre fis, mon cher père, toujours attentif aux émotions et aux sentiments d'amour de ceux qui en ont besoin.
vous et moi avons toujours été très simple, sans formalités inutiles parce que vous détestait perdre du temps quand vous avez eu à communiquer des choses importantes. J'ai donc essayer d'éviter l'habituel pathos dans ces cas réservés aux défunts.
Vous aviez toujours raison, je suis un grand artiste, mais j'ai un côté sombre que je dois essayer de limiter. Je ressemble à votre mari, maréchal de la Marine, travailleur dur, peut-être trop occupé à écouter toujours ses démons pour pouvoir s'occuper de le malaise des personnes voisine. J'espère que dans ce cas me peux aider les leçons de votre fis, mon cher père, toujours attentif aux émotions et aux sentiments d'amour de ceux qui en ont besoin.
Je suis pas comme vous sur la question de la foi; je crois au karma, à la fin, nos intentions sont les mêmes mais avec des chemins différents.
Je ne sais pas quoi penser de votre décès, j'ai fait des vidéos et des photos, comme toujours, l'art est ma façon de penser sur les questions essentielles de notre existence.
La mort n'est pas un concept, aucune personne ne sait ce qui est, donc inutile de spéculer sur l'endroit où vous êtes ou si vous écoutez mes paroles.
Votre voix résonne en moi, la vibration de votre intention est claire pour moi, je vais essayer de faire ce que vous et moi avons convenu au cours de notre vie ensemble. Vous savez que ma nature est difficile à gérer, pour ça je tiens à le code que vous m'avez appris.
Repose en paix grand-mère, mes pas suivront vos pas, votre ombre est mon ombre, je veillerai à ce qu'il est toujours un chemin noble qui prend notre famille. Comme vous m'avez bien appris, la noblesse est quelque chose que vous ne pouvez pas acheter, et nous sommes nés nobles et en tant que tels, nous devons agir, avec l'esprit critique toujours vigilant, attentif à la vraie réalité, avec une touche d'humour, parfois cynique. Toujours aider ceux dans le besoin, parce que cela nous aide à évoluer nous même. Nous méfier de la gloire et la reconnaissance sociale.
Comme vous le disait toujours, la vie est une ombre qui vient et va. J'ai grandi avec vous, pas avec ma mère, et votre ombre a été plus brillant, que la lumière des milliers de soleils.
Adieux Grand-Mère, avec une grande dévotion, votre neveu
Bruno Antonio Menei
