dimanche 8 mai 2011

Ce soir, je témoigne de la violence dans la rue

Ces derniers jours, j'ai personnellement été témoin de trois épisodes de violence dans les rues de Nancy. Personnes qui vous battre avec des chaînes, le poinçonnage, coups de pied.  
Je ne sais pas ce que vous pensez à ce sujet, mais je pense qu'il y a peu de police dans les rues de cette ville. Mais j'espère que la situation en France ne devienne pas comme cella de l'Italie, de nombreux slogans et très peu de faits. En Italie, ils ont coupé les fonds à la police, puis ils disent que la criminalité est de plus en plus dangereuse.

Je suis également contre la culture du silence qui règne dans ces spectateurs passifs que j'ai vu inerte, comme s'ils regardent la télévision et ils ne sont pas des habitants de la ville.

Rappelons-nous toujours que les autres, c'est nous.

“Relisons nos classiques”, texte de Martin Niemöller - pasteur protestant, arrêté en 1937 et envoyé au camp de concentration de Sachsenhausen puis transféré en 1941 au camp de concentration de Dachau, où il écrivit ces lignes que vous devez connaître…


«Quand ils sont venus chercher les communistes,
Je n’ai rien dit,
Je n’étais pas communiste.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes,
Je n’ai rien dit,
Je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste.
Quand ils sont venus chercher les juifs,
Je n’ai pas protesté,
Je n’étais pas juif.
Quand ils sont venus chercher les catholiques,
Je n’ai pas protesté,
Je n’étais pas catholique.
Puis ils sont venus me chercher
Et il ne restait personne pour protester.»


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire